Films divers fourmis
Alain Lenoir Mis à jour 15-Nov-2023
Films où l'on voit des fourmis (voir plus loin films avec seulement fourmis dans le titre et Films divers)
- Le poireau perpétuel, de Zoé Chantre, 2021.
-
Le pays où rêvent les fourmis vertes,
film de Werner Herzog (1984)
"Un pays plat, où de petits monticules sont comme les aspérités
d'une croûte de pain, une bourgade, un chantier en pleine activité.
Quelque part, en Australie du Sud, la civilisation industrielle s'avance. Lance
Hackett, un jeune géologue, dirige des travaux miniers. Brusquement,
quelques hommes à peau noire et cheveux crépus, des aborigènes,
font face à un bulldozer, l'empêchent de creuser le terrain à
un endroit qui pour eux est sacré, : " C'est le pays où rêvent
les fourmis vertes. " "Les fourmis vertes existent bien, nous dit
un biologiste demi-fou. Faut-il le croire ? De toute façon, elles ont
fait rêver Herzog." (J. Siclier, Le Monde 16 mai 1984). Pas
vu le film, je ne sais pas si on y voit les fourmis. Sera projeté sur
Arte le 22 avril 2022. Voir fourmis
pots de miel.
- Animal, de Cyril Dion (2021)
- Ant-Head, court métrage de David Lynch (2018).
- Selon Wikipedia, dans le film Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal (2008), les héros et les méchants sont confrontés à une super-colonie de siafus géantes (2 à 3 cm) mangeuses d'hommes. Ce terme est faux puisque la scène est censée se dérouler en Amazonie et non en Afrique. De plus l'apparence des fourmis indique plus visiblement des Cheliomyrmex andicola, plus connues sous le nom de Marabunta et vivant effectivement dans la jungle amazonienne.
-
Les Fourmis rouges, film de Stephan Carpiaux, 2007.
Alex a 16 ans et vit seule avec son père Frank dans une petite bourgade
isolée de la forêt ardennaise. Obligée de le soutenir depuis
la mort accidentelle de sa mère, Alex se retrouve contrainte de grandir
trop vite. Alors que Frank tente lentement de sortir de l'apathie dans laquelle
il se trouve depuis la mort de sa femme, Alex ravive involontairement la douleur
de son père, les plongeant tous les deux dans un monde ambigu où
la frontière entre tendresse et désir devient fragile.
Je n'ai pas vu, on y parle de fourmis ??
- Des anges et des insectes, de Philippe Haas, 1999.
Divers films avec un titre Fourmis mais qui ne parlent pas ou peu de fourmis.
-
Les fourmis et la sauterelle, de Raj Patel Zac Piper,
2021, Malawi et Etats-Unis. "Anita Chitaya est une agricultrice du
Malawi. Elle tente de rendre son village plus résilient et respectueux
de l’environnement, d’y éradiquer la faim et d’y faire
advenir l’égalité femme-homme. Néanmoins, lorsque
les effets du changement climatique montrent des signes indiscutables de dommages
irréversibles à sa terre et à sa communauté, Anita
se rend aux États-Unis pour rencontrer des agriculteurs, des militants,
des climato-sceptiques et des législateurs afin de les persuader de sauver
sa maison en commençant par sauver la planète.Ce documentaire
aborde les thèmes les plus urgents de notre époque : les changements
climatiques, l'inégalité entre les genres, le racisme, le fossé
entre les riches et les pauvres et contribue à mettre en lumière
des initiatives portées par des groupes du monde pour sauver la planète."
Pas vu ce film...
- Le Seigneur des fourmis, film de Gianni Amelio, 2022
- Fourmi. Film de Julien Rappeneau, Septembre 2019. "Le jeune Théo, surnommé « Fourmi », aimerait redonner de l’espoir à son père, Laurent, un grand gaillard solitaire et désabusé par la vie. L’occasion se présente quand Théo est sur le point d’être recruté par un grand club de foot anglais. Finalement non sélectionné car jugé trop petit, Fourmi n’a pas le cœur d’imposer une déception de plus à son père. Il se lance alors dans un mensonge qui va rapidement le dépasser… " Bien sûr on ne parle pas de fourmis dans ce film. Juste une citation du père quand Théo est mal, il parle des fourmis de feu qui font des radeaux pour se sauver collectivement. A la fin, alors que Théo doit tirer un coup-franc décisif, le pére voit une fourmi sur le ballon qu'il a à ses pieds, ce qui porte chance.
- Le royaume des fourmis, de Chawki El Mejri, sur la question palestinienne (2012). Je suppose qu'on n'y voit pas de fourmis... à vérifier
- Le
cri des fourmis, documentaire de Liliane de Kermadec (El grito
de las hormigas, 2016, sortie en salles en 2017). Carnet de voyage en Uruguay
et évocation du Mouvement national de libération Tupamaro, à
travers les témoignages de militantes ayant choisi la lutte armée.
Elles ont connu la clandestinité, la prison, la torture, la disparition
des leurs.
Juste le titre avec des fourmis ? Je n'ai pas vu.
- Happy End (Corée) de Jung ji-Woo avec Min-Sik Choi, Do-Yeon Chun et Jin-Mo Joo ; 1h40. "Un cocu coriace en Corée, Vaudeville misogyne à l’érotisme soft, "Happy End" bat des records dans son pays… l’épouse est une salope qui manque d’empoisonner son nourrisson avec du lait en poudre infesté de fourmis" (Jean-Marc Lalanne, Libération du 12 mai 2000).
- La fabrique des pandémies, de Marie-Monique Robin avec Juliette Binoche, musique Emily Loiseau (2022)